L’aventure médiatique Terminus

C’est un an après la publication du livre « Terminus, plongée photographique au coeur de lieux interdits et désertés » publié chez Racine & Lannoo avec la photographe Delphine Buxant, que je prends la plume pour tenter de dire quelque chose de l’aventure médiatique que cette publication a occasionné. Territoire inconnu même si nettement moins abandonné que les lieux que j’ai l’habitude de fouler avec mon appareil photo, il n’en est pas moins intrigant. La nécessité d’y intervenir sans filet – en live – et le flux continu du contenu à délivrer ont certainement contribué à alimenter ma fascination.

La prise de parole sans filet, il faut dire que c’est le registre même de la psychanalyse, activité centrale dans ma vie, que ce soit en tant que clinicienne ou enseignante. J’aime à penser que « le live » aussi… ces moments où l’on se retrouve plongés au coeur de la vie sans report, sans dimension « différée », sans écran à l’époque des altermoiements entre présentiel et distantiel.

La vie, en corps et sans report. Vivre, urgemment.

Mais… qui vit constamment ? Si cela ne peut être que des moments, disons que le projet Terminus et l’aventure médiatique qui l’a accompagné ont fait partie de ces moments. Des moments de vie où la pensée laisse place à la parole, à l’action, voire à l’acte dans certains cas.

Tous les articles / interviews qui nous ont accompagnés durant cette année post-publication :

Les moments « live » :

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